Jean 3: 3-5
On cite habituellement cette phrase : « Connais-toi toi-même », mais on en perd souvent de vue le sens exact. A propos de la confusion qui règne au sujet de ces mots on peut se poser deux questions : la première concerne l'origine de cette expression, la seconde son sens réel et sa raison d'être. Certains lecteurs pourraient croire que ces deux questions sont entièrement distinctes et n'ont entre elles aucune relation. A la réflexion et après examen attentif il apparaît nettement qu'elles sont en étroit rapport.
Pour sortir, un peu, du chemin "religieux"Le récit par monsieur Stephen Jourdain de son expérience d'éveil vécue à l'âge de 16 ans...
Certains esprits craintifs, et dont la compréhension se trouve étrangement limitée par des idées préconçues, ont été effrayés par la désignation même du « Roi du Monde », qu’ils ont aussitôt rapprochée de celle du Princeps hujus mundi dont il est question dans l’Évangile. Il va de soi qu’une telle assimilation est complètement erronée et dépourvue de fondement ; nous pourrions, pour l’écarter, nous borner à faire remarquer simplement que ce titre de « Roi du Monde », en hébreu et en arabe, est appliqué couramment à Dieu même (1). Cependant, comme il peut y avoir là l’occasion de quelques observations intéressantes, nous envisagerons à ce propos les théories de la Kabbale hébraïque concernant les « intermédiaires célestes », théories qui, d’ailleurs, ont un rapport très direct avec le sujet principal de la présente étude.
Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux!
Louange soit rendue à Allah pour ce qu'Il a inspiré et "parce qu'Il nous a enseigné ce que nous ne savions pas! Il nous a accordé ainsi une faveur magnifique"! (Coran, 4, 113)
Et qu'Allah prie sur le Chef le plus auguste, le Prophète le plus noble, celui qui a reçu les "Sommes des Paroles" à la Station Suprême et qu'Il lui accorde Ses salutations!
La dissonance cognitive n’a jamais été aussi grande et générale ici-bas qu’actuellement, l’humanité est en crise profonde, en crise mondiale, sanitaire, industrielle, environnementale, sociale, économique, financière… et n’entrevoit aucune issue à cette crise. La propagande mondialiste nous martèle sans arrêt que la solution à cette crise mondiale ne peut être qu’une solution mondiale parce que l’humanité est une, que les hommes sont rigoureusement égaux entre eux, dans une diversité de croyances où Dieu est finalement multiple. Je pense au contraire que Dieu est un et que l’humanité n’est pas une. Le premier chapitre de la Genèse biblique nous dit clairement que lors de la Création du monde, la végétation a d’abord été créée et qu’ensuite l’humanité fut créée. Mais dans le chapitre suivant, l’homme est d’abord créé (Adam) et la végétation est créée ensuite !… On peut donc penser que deux humanités, deux types humains ont été créés, et qu’il y avait donc des hommes sur Terre avant qu’Adam ne fut créé.
"Voici la conférence de présentation du livre "Les ennemis de l'humanité" par M. Lotfi Hadjiat (sept. 2015), réalisée le 24 octobre à Marseille.
Il est question, dans cette vidéo de 40 minutes, d'analyses pertinentes de l'idéologie politico-religieuse des mondialistes qui nous gouvernent. L'auteur a découvert un lien direct entre ce que l'on appelle la secte "caïnite" et les subversions politiques des dernières décennies !
Tant que la connaissance n’est que par le mental, elle n’est qu’une simple connaissance « par reflet », comme celle des ombres que voient les prisonniers de la caverne symbolique de Platon, donc une connaissance indirecte et tout extérieure ; passer de l’ombre à la réalité, saisie directement en elle-même, c’est proprement passer de l’« extérieur » à l’« intérieur », et aussi, au point de vue où nous nous plaçons plus particulièrement ici, de l’initiation virtuelle à l’initiation effective.
[Article écrit en arabe par le Shaykh 'Abd-al-Wâhid Yahyâ pour la revue Al-ma'rifa (juillet 1931). Traduit par Jean Abd al-Wadoud Gouraud (1) à partir du livre du Cheikh Abd al-Halîm Mahmûd « L’école de la Chadhiliyya » (2)]
Parmi les plus dangereuses erreurs de l’Occident moderne, il en est une qui s’est établie en Amérique depuis moins de cent ans, précisément depuis 1847, et qui est connue sous le nom de « néo-spiritualisme » ou « spiritisme » (ar-rûhâniyya al-hadîtha). On pourrait définir ce dernier en disant qu’il consiste à croire à la possibilité d’une communication avec les morts par l’intermédiaire de moyens matériels. Le néo-spiritualisme a vu le jour à partir de phénomènes naturels, comme l’émanation de voix ou le mouvement d’objets dans certaines habitations, qui se produisent sans cause évidente. Ce type de phénomènes a été remarqué de tout temps et partout, et il n’est donc pas possible de dire qu’il soit exceptionnel. Pour quelle raison, dans ce cas, les Occidentaux en ont-ils fait une croyance nouvelle alors que personne n’en avait jamais eu l’idée auparavant ?
La suite du voyage symbolique accompli par l’être dans son processus de libération graduelle depuis la terminaison de l’artère coronale (sushumnâ), communiquant constamment avec un rayon du Soleil spirituel, jusqu’à sa destination finale, s’effectue en suivant la Voie qui est marquée par le trajet de ce rayon parcouru en sens inverse (suivant sa direction réfléchie) jusqu’à sa source, qui est cette destination même.
Les « trois fonctions suprêmes » dans le Bouddhisme thibétain*. |
Suivant Saint-Yves, le chef suprême de l’Agarttha porte le titre de Brahâtmâ (il serait plus correct d’écrire Brahmâtmâ) « support des âmes dans l’Esprit de Dieu » ; ses deux assesseurs sont le Mahâtmâ, « représentant l’Âme universelle », et le Mahânga, « symbole de toute l’organisation matérielle du Cosmos » (1) : c’est la division hiérarchique que les doctrines occidentales représentent par le ternaire « esprit, âme, corps », et qui est appliquée ici selon l’analogie constitutive du Macrocosme et du Microcosme.
Bonjour à tous