Seul Dieu a le pouvoir d’ôter les voiles de vos yeux, et vous ne trouverez pas de réponses ici, à moins qu'Il ne le veuille.

20 septembre 2020

La Magie Adamique-fin



Le premier monument que nous trouvons à cet effet, est celui de
Synésius, homme très instruit et intelligent. Il découvrit dans le temple
de Memphis, des livres de pierre, et dans ses lourdes pages figuraient ces
instructions difficiles



La nature se délecte de l’autre,
La nature vainc l’autre,
La nature gouverne l’autre.

Cet enseignement bref mais conséquent doit sa paternité au grand
Ostanès (15).
Le second est un monument admirable et magique à l’extrême,
mentionné par Barachias Abenesi l’Arabe. Il s’agit également d’une
pierre érigée près de Memphis sur laquelle on trouve cette inscription de
profonde signification


Ciel en haut, Ciel en bas
Etoiles en haut, étoiles en bas
Tout ce qui est en haut, est également en bas
Comprends cela et sois heureux.

Au-dessous, on trouve certains hiéroglyphes et, en conclusion, cette
dédicace écrite en caractères coptes
Isias le Grand Prêtre a érigé ceci,
Pour les Dieux résidant en Egypte.
Et bien qu’ayant laissé en suspens l’autorité de Trismégiste, nous
pourrions présenter ses armes : « Ce qui est en haut, dit Hermès, est
comme ce qui est en bas, et ce qui est en bas est comme ce qui est en
haut ». Voici son mystère, et il est grand. Et son bénéfice n’est pas
moindre : « Tu posséderas toute la gloire du monde ». Ce langage trouve
son écho dans le [207] dialecte d’Isias, et tous deux, comme Euphorbe et
Pythagore, pourraient passer pour un seul.

« Ciel en haut, dit-il, Ciel en bas,
Etoiles en haut, étoiles en bas,
Tout ce qui est en haut, est également en bas. »
Ensuite vient une récompense pour l’intelligent « Comprends cela et sois
heureux », tu te seras rendu heureux.

Cela suffit à prouver que la Magie a été florissante en Egypte. Il est
certain que les Egyptiens reçurent la vérité des Hébreux, puisqu’ils
vécurent parmi eux, durant une période de quatre cent trente ans.
L’enseignement primitif des Egyptiens n’était autre chose que pure
sorcellerie et magie noire, ce que nous savons grâce au témoignage de
Moïse, qui affirme que leurs mages accomplissaient des miracles par
enchantements. Comment cette instruction a-t-elle été rendue possible ?
Joseph était marié à Asenath, fille de Putiphar, prêtre d’On (Genèse XLI,
45-50). Grâce à cette union, certains prêtres égyptiens pouvaient recevoir
de lui une doctrine meilleure.

Mais nous pourrions en dire davantage sur cette nation et son
enseignement secret, si nous étions disposés à être leur messager.
Personne ne prétendra connaître l’antiquité et la philosophie, sans avoir
vu le fameux monument que Paul HI octroya à son cardinal Pietro
Bembo et qui, depuis lors, a été nommé la Table Bembine (16). Si les
hiéroglyphes qu’il contient avaient été exprimés en lettres, ils auraient
constitué un volume aussi vaste que mystérieux. Mais notre propos n’est
pas de commenter les monuments de Memphis; cela serait un travail
trop important et il faudrait séparer le grain de la paille. L’Egypte ne
possède pas la table complète, car elle est éparpillée dans les monuments
du monde entier. Ce pays était [208] ce qu’est la cruche à la fontaine, car
elle reçut ses mystères directement des Hébreux, et leur doctrine, à
l’instar du Nil, finit par sortir de son lit et recouvrir l’Univers.

Le divin Jamblique, dans son excellent discours Les Mystères des
Egyptiens, des Chaldéens et des Assyriens, nous dit que Pythagore et
Platon avaient reçu tout leur enseignement « des colonnes et monuments
hiéroglyphiques de Trismégiste ». L’antique Orphée, dans son poème De
Verbo Sacro, quand il parle de Dieu, dit : « Jamais personne n’a vu
Dieu, si ce n’est un certain homme né de sang chaldéen » (17). Il s’agit de
Moïse, dont il est dit (Exode XXXIII, 11) « qu’il parlait avec Dieu face à
face, comme un homme parle à son prochain ». Ensuite, il nous donne
une brève idée ou description de la Déité, non de façon cachée et
abstraite, mais en référence à l’incubation de son Esprit dans la Nature.

Enfin, il nous informe de l’origine de sa doctrine, de là où elle est
d’abord venue, et en vérité, il la dérive de la source même. « Les prêtres
ou les prophètes des anciens pères, dit-il, nous ont enseigné toutes ces
choses, que Dieu leur avait révélées en deux tables ». Merci à ce dieu qui
permit à un païen de parler si clairement.

Inutile de dire à qui furent livrées ces tables, le Cavallero d’Epistola (18)
t’en informera. Même si la philosophie grecque est généralement issue
de l’Egypte, certains Grecs ont été instruits par les Hébreux, ce qui nous
est prouvé par quelques témoignages dignes d’intérêt.

Aristobule, qui vivait au temps des Maccabées, et qui était lui-même un
Juif, écrit à Ptolémée Philométor, roi d’Egypte, et affirme que le
Pentateuque, les cinq livres de Moïse, fut traduit en grec avant l’époque
d’Alexandre le Grand, et qu’ils arrivèrent dans les mains de Pythagore et
de Platon. Le Pythagoricien Numénius appelle Platon « le Moïse [209]
qui parle en langue grecque », ne voulant pas indiquer une similitude de
style, mais plutôt une conformité de principes. Cléarque, le
Péripatéticien, dans son premier De Somno, rapporte cette histoire, dont
nous ignorons le degré d’authenticité, mais dont voici la substance. Il
nous parle d’Aristote, décrivant sa rencontre avec un vénérable Juif très
instruit. Ils eurent de nombreuses conversations sur les choses naturelles
et divines, et Aristote avoue avoir rectifié ses idées de la Déité grâce à
celui-ci. C’est possible, mais cela dut avoir lieu après qu’il ait écrit son
Organon et ses autres discours boiteux, qui avancent par la béquille de la
logique. Excepté Aristote et ses partisans, nés - tels des vermines de la
putréfaction - des corruptions de leur maître, la Grèce n’a pas produit un
seul philosophe qui n’ait été en quelque façon magique.

Voici quelques arguments pour appuyer mon affirmation. Hippocrate
était chimiste, comme l’indiquent ses écrits. Démocrite, qui vivait à la
même époque, écrivit sa Physique et Mystique, c’est-à-dire Des choses
physiques et mystiques, ou en termes simples, Des Secrets Naturels.
Synésius apporta à ce discours mystique la lumière de ses commentaires
et les dédia à Dioscore, prêtre de Sérapis. Sénèque à propos de
Démocrite, affirme dans ses lettres « qu’il connaissait une coction secrète
permettant de transformer les galets en émeraudes ». Théophraste,
auteur grec très ancien, mentionne dans son De Lapidibus un autre
ouvrage minéral dans lequel il avait traité des métaux. Malheureusement
ce discours a été perdu, mais malgré cela, sa doctrine a été recueillie : il
rapporte notamment l’origine des métaux à l’eau. Ceci est confirmé par
ses propres paroles telles que nous les avons trouvées citées par Pic dans
son De Auro : « C’est par la conversion de l’eau que l’on obtient l’argent
et l’or ». Les essais et la pratique que nous [210] rapporte Théophraste,
nous indiquent que l’Art de la Transmutation était en vogue en ce
temps-là, et qu’il ne s’agissait pas d’une invention récente ou d’une
imposture, comme le pensent certains. En effet, il parle d’un certain
Callias, un Athénien qui, en essayant de faire de l’or, convertit ses
matériaux en cinabre.

Enumérer tous les exemples que la Grèce peut apporter à notre projet,
serait un travail infini. Nous terminerons en disant ceci : il n’y a pas de
sagesse dans la Nature si elle ne provient de Dieu, car c’est lui qui l’a
faite. D’abord il découvrit, et ensuite il ordonna les différentes manières
et la méthode pour corrompre et générer. Il communiqua sa sagesse et sa
connaissance au premier homme; celui-ci, à ses fils, et ses fils
l’enseignèrent à leur postérité. Mais pour les Juifs, qui avaient une
progéniture spirituelle, ce mystère était leur héritage, et ils le possédaient
entièrement, car ils étaient le peuple oint sur lequel Dieu avait répandu
son Esprit. Les Egyptiens furent instruits par la tradition juive. A partir
des Egyptiens, ces secrets passèrent aux Grecs, et des Grecs, comme nous
le savons, les Romains en reçurent l’enseignement, et entre autres arts
vulgaires, il y avait ce mystérieux Art magique. Ceci se confirme par
certains effets réels et authentiques, de même que par des monuments,
comme par exemple, ce verre flexible et malléable produit à l’époque de
Tibère (19), ainsi que la miraculeuse lampe olybienne (20).

Hélas ! Nous vivons aujourd’hui une époque de tempête où il y a plus de
nuages que de lumière. C’est pourquoi je pénétrerai dans le
christianisme; c’est là que je trouve l’Art dans son enfance. Certes, le
berceau ne se trouve que dans quelques mains privées; quelques rares
savent où, et beaucoup croient qu’une telle chose n’existe pas. Les
scolastiques font beaucoup de tintamarre et condamnent tout, hormis ce
qu’ils [211] professent eux-mêmes. C’est l’Almodena (21) d’Aristote où ils
exposent ses erreurs publiquement, et cela continuera longtemps. Mais
chaque chose en son temps, dit l’Espagnol. Beaucoup d’années ont passé
depuis, et aujourd’hui l’enfant commence à balbutier et à se montrer à
l’extérieur, dans la grandiloquence d’Arnaud et de Lulle. Inutile de dire
combien il s’est développé depuis lors, il suffit d’observer ses disciples,
car de nos jours, qui ne prétend à la Magie, comme si les « cadeaux » de
l’Art étaient en leur pouvoir ? Nous ne connaissons personne qui s’y
oppose, hormis certains Galénistes maladifs, dont le teint pâle et cireux
révèle plus la maladie que la médecine. Ceux-ci se plaignent que la vie
est trop courte et que la philosophie est trop ennuyeuse. Ils tiennent des
propos tels que Ars Tonga, vita brevis. Comme dit le Picaro espagnol
(22), ils ne guérissent que tardivement ou jamais, ce qui rend leur art
long; mais ils meurent rapidement, ce qui rend leur vie brève, et c’est
ainsi qu’est exposée l’énigme.

Nous pensons avoir maintenant accompli notre promesse et avoir
prouvé l’antiquité de la Magie, selon nos possibilités. Nous ne sommes
assez fou pour espérer une adhésion générale à nos efforts, car à chacun
son penchant, et Jacta est Alea (23). Celui qui voudra contredire ce traité,
devra en dire davantage. Mais nous interdisons à notre adversaire,
d’opposer l’homme à Dieu, les écrits païens aux Saintes Ecritures. Celui
qui voudra nous déjouer, devra le faire avec les mêmes armes que les
nôtres; car n’ayant pas proposé de la paille au lecteur, nous ne nous
contenterons pas de chaume. [212] [213]


LA MAGIE ADAMIQUE
THOMAS VAUGHAM
Dit EUGENE PHILALETHE


NOTES SUR LA MAGIE ADAMIQUE
(1) Cf. Reuchlin, De Arte Cabal istica (éd. Archè, Milan, 1995, Livre II, p.
104) : « (Pythagore) ne laissa à ses disciples nulle licence de le
questionner. Le premier principe de doctrine était qu’on répondit à ceux
qui demandaient raison C’est lui qui l’a dit, à la façon des Cabalistes
qui n’apportent presque pas d’autres raisons des choses à connaître que
C’est ce qu’ont dit les Sages. Ainsi notre fameux Autos epha, c’est Lui
qui l’a dit. »
(2) Que l’on nous permette d’insister sur cet aspect fondamental de la
philosophie de Philalèthe : « La science de Dieu n’est que paille, si on ne
la passe au tamis, si elle n’est mue par un désir d’expérimentation. »
Saint Paul dit « N’éteignez pas l’Esprit. Ne méprisez pas les prophéties.
Eprouvez tout, et retenez ce qui est bon » (I Thes. V, 19-21). Le Message
Retrouvé enseigne la même chose : « Le sage expérimente tout avec
patience » (X, 42’), « A quoi bon comprendre si nous n’expérimentons pas
en nous-mêmes la vérité de Dieu ? » Le destin divin de l’homme passe
par l’expérimentation : « (..) Expérimenter, connaître, choisir, arriver au
repos, c’est le destin de l’homme » (id., III, 87’). Rabelais, à sa manière,
recommande de tamiser pour trier le vrai du faux, pour séparer le bon
grain de la paille qui l’enveloppe ; il préconise « le criblage et le blutage
de ces matières » (Tiers-Livre, ch. 16, coll. L’Intégrale, p. 428).
(3) Ilan signifie arbre en hébreu.
(4) Aristote. [214]
(5) Selon Waite, il s’agirait d’un charlatan; selon Rudrum, d’un montreur
de curiosités écossais, réalisant des tours avec des chevaux. Suspecté de
recourir à la magie, il fut emprisonné à Paris, en 1601.
(6) En hébreu, ces mots s’écrivent avec les mêmes consonnes; en Cabale,
on peut les permuter et former des anagrammes. Reuchlin écrit à propos
de la Cabale : « Et c’est sa grande puissance et l’éloge de sa puissance
que de quelque manière que ses syllabes soient transposées, les mêmes
lettres demeurent sans diminution, encore que souvent le sens change.
C’est ce que rappelle Rabbi Abraham dans le Sepher Ietsira, quand il dit
: « Mâle et femelle », mâle par Emes, et femelle par Esem, où la
transposition des lettres indique aussi mutation dans la chose » (De
Arte Cabalistica, op. cit., p. 264).
(7) Philalèthe insiste sur ce mystère de l’échelle de Jacob. Reuchlin écrit
que « Toute contemplation (..), toute 1 ‘Ecriture sainte des juifs (..) est
l’échelle de Jacob, fixée en terre et dont le sommet touche les cieux, qui
nous permet de passer de ce monde corporel jusque dans l’autre monde,
celui des anges, et même jusqu’à l’âme du Messie Sauveur » (op. cit., p.
132). « Ce bien, lui, que l’on appelle Dieu, nous ne pourrons l’atteindre,
en raison de la fragilité de notre condition, que par degrés et échelons.
Selon votre expression, c’est la chaîne d’Homère. Pour nous autres juifs,
qui parlons selon la parole de Dieu, c’est l’échelle de notre père Jacob.
Elle s’étend des lieux sur-célestes à la terre. C’est comme quelque corde
ou quelque câble d’or dirigé du haut du ciel jusqu’à nous, c’est comme le
rayon visuel qui traverse diverses natures » (op. cit., p. 211). La vision de
l’échelle de Jacob est associée à un Lieu, qui fait l’objet de l’Histoire juive
n° IX (E. d’Hooghvorst, Le [215] Fil de Pénélope, p.287 et sv.). C’est
l’expérimentation d’une manifestation mystérieuse (Le Fil de Pénélope,
p. 162).
(8) Selon l’exégèse hébraïque, Moïse est mort dans le baiser de Dieu. Par
ailleurs, Agrippa, dans La Philosophie Occulte (III, 49, Ed.
Traditionnelles, p. 256), parle d’une certaine séparation de l’âme d’avec
le corps, « et cette séparation, les Hébreux l’appellent la mort du
baiser. » Dans ses Conclusions, Pic de la Mirandole déclare au sujet de la
mort du baiser : « précieuse en la présence du Seigneur est la mort de ses
saints. » Sur cette mort dans le baiser de Dieu, cf. le remarquable article
du professeur Raimon Arola, intitulé « La mort initiatique », paru dans
La Puerta n° 48 et dans Le Fil d’Ariane n° 57-58.
(9) Pietro della Valle (1586-1652) est un voyageur italien qui parcourut
l’Egypte, la Syrie, la Mésopotamie et la Perse. Il découvrit les ruines de
Babylone et de Persépolis. Ses travaux sur la langue copte influencèrent
ceux du Père A. Kircher, auteur de La Langue égyptienne restituée, et
d’ouvrages scientifiques sur l’aimant, l’acoustique et la lumière (on lui
attribue l’invention de la lanterne magique).
(10) Cf. N. Flamel, Le Livre des Figures Hiéroglyphiques, Bibliotheca
Hermetica, Denoël, 1970, pp. 74-8 1.
(11) Maranatha : expression araméenne qui signifie Notre Seigneur
vient, formule liturgique en usage parmi les premiers chrétiens, selon
Crampon. Cf. I Corinthiens XVI, 22 : « Si quelqu’un n’aime pas le
Seigneur, qu’il soit anathème Maranatha. » Cf. Le Message Retrouvé
XX, 34 » « Maranatha. Il vient certainement. » [215]
(12) Cf Jamblique, Les Mystères d’Egypte, Les Belles Lettres, Paris, 1966,
pp. 196-197.
(13) Cf. ici-même, L’Anthroposophie Théomagique, p. 34.
(14) Dans son Dictionnaire mytho-hermétique (Bibliotheca Hermetica,
Denoël, p. 333), Dom Pemety écrit à l’article « serpent » : « Le nom de
serpent a été aussi donné au mercure, parce qu’il est coulant comme
l’eau, et qu’il serpente comme elle. »
(15) Sur Ostanès, cf. J. Bidez et F. Cumont, Les Mages Hellénisés, Les
Belles Lettres, Paris, 1973, tome I, pp. 167-212,
(16) En 1539, le pape Paul III nomme cardinal l’humaniste Pietro Bembo,
dont l’importance historique est d’avoir fixé l’usage littéraire de la
langue italienne et inauguré la mode du pétrarquisme. S’appuyant sur
Kircher, Rudrum précise que la Table Bembine, purement
hiéroglyphique, résume la théologie égyptienne.
(17) Cf. Jean I, 18 : « Dieu, personne ne l’a jamais vu. Le Fils unique,
qui est dans le sein du Père, c’est lui qui l’a fait connaître. »
(18) Selon Rudrum, ce « chevalier des épîtres » désigne un sous-diacre :
« L’expression espagnole « cavallero de epistola « provient de ce qu’il
incombe au sous-diacre de chanter ou de lire l’épître à la messe. » Selon
une autre interprétation, ce « chevalier des épîtres » désignerait saint
Paul. [217]
(19) L’artisan qui détenait le secret de fabrication de ce verre malléable et
incassable, eut la tête coupée (Pétrone, Satiricon, § 51, éd. Arléa, p. 82).
(20) Sorte de lampe perpétuelle, comme celle découverte dans le sépulcre
d’Olibius, près de Padoue (Sir Thomas Browne, Pseudodoxia Epidemica,
III, 21).
(21) Almoneda est un personnage du roman picaresque de Mateo
Aleman, Le Coquin, ou La Vie de Guzman d’Alfarache (1599). Une
glose fait d’Almoneda « une vente publique, à la criée. »
(22) Le Picaro espagnol : le Guzman d’Alfarache, de Mateo Aleman.
(23) « Le sort en est jeté », finit par dire Jules César au moment de
franchir le Rubicon (Suétone, Vie de César, 32).

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