Ce que nous avons dit sur certaines entreprises « pseudo-initiatiques » peut faire comprendre facilement les raisons pour lesquelles nous sommes fort peu tenté d’aborder des questions touchant, plus ou moins directement, à l’ancienne tradition égyptienne. Nous pouvons encore, à ce propos, ajouter ceci : le fait même que les Egyptiens actuels ne se préoccupent aucunement des recherches concernant cette civilisation disparue suffirait à montrer qu’il ne peut y avoir à cela, au point de vue qui nous intéresse, aucun bénéfice effectif ; s’il en était autrement, en effet, il est bien évident qu’ils n’en auraient pas abandonné en quelque sorte le monopole à des étrangers, qui d’ailleurs n’en ont jamais fait rien de plus qu’une affaire de simple érudition.